Le Gardar c’est une histoire de naufrage. Une tempête, une avarie, un homme à la mer. Un trou dans la coque, un Fjord comme refuge et au final le bateau s’échoue.
Laissé pour mort depuis 30 ans, le Gardar c’est la poisse du marin. Un bâtiment fait de rouille et d’os, surplombé d’un mat qui siffle aux 4 vents pour donner l’alerte.
« Iceberg! Iceberg! »
« Calme-toi Gogol. »